Faisons simple, les journées qui vous sont utiles sont dues. Les autres non.

Aussi, nous connaissons les journées de bricolage pédagogique et nous les refusons.

Utiliser vs occupation du temps

Sur un stage de 5 jours, nous nous donnons le temps des journées ou moments non volables pour mettre à profit le vécu du stage pas encore analysé. Concrètement, nous serons opportunistes sur la météo pour pratiquer quand ce sera faisable. Viendra ensuite le temps de l’exploitation des situations de vols. Et donc, pour optimiser le temps, nous le ferons lors des moments non volables. Analyse de trace, explicitation des processus de pilote, technique au sol, ou autre.

Sans matière à travailler pour votre progression, vous ne payerez pas de journée non volée. Quitte à écourter le stage.

Economies pour tous le monde

Par ailleurs, une journée où nous ne volons pas c’est une journée où nous économisons les frais de navette. Donc, c’est logique, une journée non volée c’est forcement une journée moins cher pour vous. En moyenne nous allouons 100€ par jour pour la navette. C’est donc 100€ de moins en moyenne sur le total de la journée.

Les livres sont remplis de cours théoriques.

Nous pouvons facilement vous communiquer une bonne bibliographie sur des sujets variés. Pendant le stage nous visons avant tout à cibler vos besoins pratiques.

Des cours théoriques utiles

Qu’à cela ne tienne, vous n’arrivez pas à faire un bulletin météo pour choisir quel plan de vol réaliser ? Dans ce contexte nous pouvons réaliser des apports théoriques, et nous nous ferons un plaisir de vous donner les outils nécessaires.

Des cours théoriques in-utiles

Autrement, nous avons une journée avec une météo très capricieuse et nous avons déjà exploité tout votre vécu du stage ? Allons-nous vous proposer 3h de cours météo sur l’émagramme pour remplir la journée ? La réponse est non. Allons-nous vous proposer 3 heures de cours sur la mécanique de vol ? La réponse est non.

Nous adaptons les apports aux besoins, pas l’inverse.

La réponse est non. Ce pouvoir est pour une part réservé aux écoles EFVL. De plus, nous pensons qu’une démarche de développement de la compétence de pilote ne peut être mélangé avec des situations évaluatives de certification. Former et certifier perturbe une relation vrai d’apprentissage et de confiance. Rapprochez-vous d’une école ou de votre ligue pour faire valider vos brevets.

Bien sûr ! Si c’est votre objectif pendant le stage nous pouvons essayer de l’atteindre. En revanche, nous allons surtout nous concentrer sur les moyens et non sur le but. Si vous n’êtes pas encore record-man ou record-woman de distance, ou plus simplement si vous avez des points faibles en vol, nous allons travailler pour y remédier. La distance n’est pas une fin en soi, elle est la conclusion d’un parcours bien réalisé.

Clairement non au sens de l’accompagnement en préparation mental. Explications dans les paragraphes ci-dessous. Dans les stages ciblés « mental parapente » nous insisterons plus en avant sur les thématiques non-techniques du vol.

De la gestion mentale

La préparation mentale, selon l’accompagnement à l’optimisation de la performance relève d’une pratique sur la durée(une dizaine de séances au moins sur plusieurs semaines) pour permettre à un sportif de renforcer ses points forts ou de travailler à transformer ses points faibles. Bien qu’un des membres de l’équipe y soit formé, il serait présomptueux voire mensonger d’annoncer que nous proposons cet enseignement en stage de parapente.

Des outils de gestion mentale

Tout au plus nous utiliserons des outils pour accéder à la dimension mentale de l’activité parapente. Celle qui est dans plus de 90% des cas responsables des bons et des mauvais fonctionnements humains. Quelques outils communs sont: l’imagerie mentale, la verbalisation des processus de pilote, l’auto-confrontation, la méthode SMART(qui consiste à fixer des objectifs Spécifique, Mesurable, Ambitieux, Réaliste, Temporel, afin de maximiser les réussites).